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samedi 28 avril 2018

L'Indienne

C'est une jeune femme, je ne sais pas à quelle tribu elle appartient.
Elle est mariée, sont mari et elle partage un immense et bel amour.
Le genre d'amour que l'on ne rencontre pas tous les jours.
Elle l'admire, il est grand beau, fort, il est tout pour elle, sont tout, son univers, ça vie.
Pour lui c'est la plus belle, la plus parfaite des épouses, elle est aussi sont tout.
Les hommes de la tribu se préparent et  partent à la chasse ensemble.
Pendant que sont mari chasse elle vaque à ses occupations et fait le travail qu'elle à a faire, ramasser du bois, nettoyer les peaux, coudre, préparer le repas pour
le retour de son amoureux...
Les tâches terminées elle va se promener dans un champ d'herbe haute, ramasse une brassée de fleurs.Le ciel est bleu, pas de nuages, une légère brise, une belle journée.
Elle rentre au campement.On lui apprend que sont bien aimé  rejoint le monde des esprits.
À ce moment-là tout s'écroule, elle a tout perdu,elle est dévastée par la douleur et le chagrin.
Le village la chasse.
Elle monte sont tipi prés d'un cours d'eau. Elle est seule,abandonnée, trahie... Elle vivra là peu de temps.
La tribu à trahi sont mari, la chasse était un prétexte pour le sortir du village et l'assassiner d'une flèche dans le dos,et ont jetée la veuve comme une mal propre.
Sont chagrin est inconsolable. Elle ne peut pas vivre sans lui.
Elle décide de monter au sommet de la montagne et se laisse mourir de chagrin, dans la solitude et l'indifférence la plus absolue...
C'est l'histoire qu’a revécue Lili la chamane aujourd'hui lors d'un soin.
Aujourd'hui elle a fait face à la tribu. Ce sont eux qui se sont approchés d'elle et on demandé sont pardon.
La vielle chamane lui à attrapée les joues et droit dans les yeux lui à dit:

- Je te demande pardon pour tout le mal que l'on t'a fait.
Elle à put pardonner la tribu et les faire passer dans l'autre monde, se pardonner de s'être laissé mourir et dire au revoir à sont mari bien aimé!

Ce fut un très beau moment partager, très émouvant.
Merci de m'avoir permis de vivre et de ressentir tout ça avec toi

mercredi 11 avril 2018

Katherine
Une dame se présente à moi. Ses vêtements sont d'époque renaissance.
Les cheveux sont longs de couleur châtain , lui tombe dans le dos .
Elle est mal mise, les cheveux en bataille les vêtements froissés.
Elle n'est pas très contente visiblement. Je ressens une forte énergie, de la colère et de l'incompréhension.
Nous sommes trois à partager cette vision. Chacun de nous ayant une bribe d'information nous savons qu'elle veut être reconnu.
Elle nous donne sont prénom qui est Katherine.
C'est une courtisane de la cour, elle est considérée comme une catin, ce qui n'est pas le cas et la contrarie fortement.
Elle est enceinte, l'enfant est le fruit du viol.
L'homme qu'elle aime est loin d'elle et ne peut rien pour la défendre et la protéger.
L'ayant écouté elle se sent mieux et tient   sont enfant dans les bras. Nous lui rendons hommage en levant un verre en sont honneur ainsi qu'a sont sont petit. Je reçois ça charge émotionnelle, je ressens un grand chagrin, je suis très triste et pleure. Je me ressaisis en me rappelant que ça ne m'appartient pas.
Au moment du couché nous éclairons deux bougies. Une pour Katherine et l'autre pour sont enfant.
Une foie dans le lit elle me raconte sont histoire:
C'est une femme de la cour.Pour assoir certains privilèges, sécurité et confort elle accepte de coucher avec les Monsieurs qui peuvent lui offrir tout cela . À cette époque ça se  passé comme cela, bien que les choses n'est trop changées.
Elle est considérée comme une catin, ce qui n'est pas le cas, ça la blesse énormément, mais fait avec.
L'homme qu'elle aime, sont protecteur est loin d'elle.
Katherine découvre ça grossesse, ça la met en joie,même si c'est le fruit de l'abus sexuel.
Elle est dans un carrosse en route pour une destination qu'elle ne m'indique pas.
Assis en face d'elle, un Homme, il l'accompagne, ce n'est pas sont bien aimé.
Ils discutent. Katherine sens le mal être et l’engouasse montée, ça lui serre la gorge et envahie tout son être.
L'homme change de place. Il s'approche d'elle,comme pour l'étreindre, mais au lieu de ça il la poignarde d'un cout  bien placé dans le ventre.
Surprise, confuse, elle s'éteint dans la douleur en pensant à l'homme de ça vie.
Celui-ci aura une vie longue remplie de remords de ne pas avoir pu la protéger, la sauver, car loin d'elle. Ça bien aimée Katherine lui manquera toute ça vie, il mourra dans le chagrin et la solitude.
Katherine m'a fait vivre ça vie pour que je comprenne. Probablement ma compassion ou le fait de partager, je ne sais pas, elle est  soulagée, ce sent bien, quelque chose a transmuté débarrasser,  d'un poids.
Du coup tout change. Katherine n'est plus échevelée, ses cheveux forment une cascade de boucles jusqu'au milieu du dos, le devant et les cotés rassemblés en une jolie attache.
Çà robe et superbe, sont petit garçon lové au creux de ses bras.
Elle me remercie, me dit au revoir, elle peut s'en aller maintenant, mais me d’amande avant de ré éclairer encore deux bougies pour sont enfant et elle dans la chapelle de mon chois. Là où je suis bien!
sorcière
Il fait beau, un vrai jour de printemps, nous décidons d'aller promener à la campagne.
Nous nous arrêtons près de ruines romaine. Il y a un haut monument, la pancarte indique que c'est une construction à l'intention d'un défunt, mais pas enterrée là.
Après avoir regardé le monument sous toutes les coutures, on s'assoie à sont pied posé sur une pierre.
Il fait vraiment très beau, à l'abri du vent, le soleil réchauffe nos peaux et une légère brise nous rafraîchi.
Face au soleil je ferme les yeux pour profiter pleinement de ce moment de bonheur.
Maintenant cinq femmes sont devant moi.
Elles sont vêtues de longue robe blanche, une couronne de fleurs sur le front et la taille ceinturée d'un lien lâche qui descend sur les hanches.
Dans leurs mains un récipient rempli de pétales de roses. Elles dansent en cercle, pieds nus dans l'herbe tout en jetant des pétales.
Je commence à me demander qui elles sont, qu'est ce qu'elles font là et à quelle époque elles appartiennent...
J'hésite entre Celtes, Romaines ou sorcière wiccan.
Je ne sais pas trop,mon cœur finit par balancer entre Celtes et wiccan. Je n'ai pas de réponse, ça ne doit pas être important que je sache.
Ne me sentant pas concernée, j'éclaire une cigarette en étant très détendue je profite de la vision.
Sur ce l'une d'entre elles s'approche et me demande ce que je fais là?
Moi je lui explique avec le plus beau de mes sourires:
 -je profite du soleil en vous regardant et je fume une cigarette
- Ah non, ce n’est pas possible. Tu t'empoisonnes, tes énergies descendent, comment veux tu recevoir ce que l'on te donne?
-ho, c'est pour moi? Merci beaucoup, je n'avais pas compris, je m'excuse et accepte de recevoir.
Les pétales ne sont plus c'est de l'eau magique à la place et elle m'en asperge.
Je sens l'éclaboussure de l'eau, elle pétille comme tout plein de paillettes, j'ai l'impression que ça nettoie quelque chose... il se passe des choses en moi, mais ne comprend pas tout.
Je la remercie, promet d'essayer d'arrêter la cigarette et il est temps de partir.
Encore une jolie rencontre et un très beau moment partager avec ce que je pense être mes sœurs sorcières